
Dans "A armes égales", la belle-du-jour, Demi Moore, laboure avec bravoure les mâles de basse-cour et savoure ainsi avec humour les calembours de sa cour. Son parcours ? Elle entoure ces balourds à un carrefour tel un vautour en coure et, comme toujours, les a rebours. Gourds devant son discours et son concours, ces poids-lourds se gourent, le souffle court, pour demander finalement des mamours. Avec ou sans recours, ses atours de velours poussent ces brandebourgs hors-concours !
Alors, entre chacal et baribal, je suis loyale "A armes égales". Ni caporal cérébral ni Amiral congénital, j'étale mon arsenal sans égal et exhale mon mental ducal face à ces Mittal qui déssallent sur les côtes du littoral oriental du Bengal. D'un capital abdominal sculptural et d'une dorsal orbitale aussi impériale que monumentale, j'écale un rival syndical inamical et le déballe devant un tribunal inquisitorial.
Je brinquebale, ensuite, mes scandales et cavale à cheval comme une balle dans la capitale du mistral. Je signale alors au sénéchal local, l'immoral valeur cardinale de ces ritals: le football. Car "Qui hale le football en piédestal, installe sa stalle tombale".
En conséquent, cette infernale pastorale sera le principal éditorial de ce récital :" je remballe le mâle trop caricatural dans un bocal et le trimballe en médico-légal !"
A bon entendeur,
Charlotte.
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